13.– G. parisiense L. (Gaillet de Paris. Frans walstro. Pariser Labkraut). — 8-25 cm. — Juin-août. — Thér. — Cultures, friches, terrains vagues secs, ballast des voies ferrées. — Lorr. : R-RR ; Mar. mér., Pic. sept., Brab. occ., Champ., Tert. par. : RR ; ailleurs : parfois adventice. — Europe mér. et centr., Asie Mineure, Afrique du Nord, Macaronésie. — [*]
OBS. — 1. – L’espèce est assez variable. On peut distinguer deux variétés :
– var. parisiense : fruit muni de poils crochus. — RR ;
– var. leiocarpum Tausch (Syn. : var. nudum Gren. et Godr. ; G. anglicum Huds.) : fruit glabre. — Variété le plus souvent rencontrée dans le territoire de la Flore, probablement la seule indigène dans celui-ci (partie mér.).
2. – Une espèce voisine, Galium divaricatum Pourr. ex Lam. [Syn. : G. parisiense L. subsp. divaricatum (Pourr. ex Lam.) Rouy], a été signalée comme introduite dans le territoire de la Flore (Camp.). Elle se distingue de G. parisiense par sa panicule ample, diffuse, à contour ovale, à ramifications longues et divergentes (la panicule étant étroite, oblongue, à ramifications courtes, étalées ou dressées chez G. parisiense) et par son fruit large de 0,5-0,7 mm à maturité.