Erodium cicutarium (L.) L’Hérit.

2. – E. cicutarium (L.) L’Hérit. — Avr.-oct. — Thér. — Deux sous-espèces dans le territoire de la Flore :

Inflorescence à 5-7(-9) fleurs. Corolle de 12-17 mm de diam., violette ou blanche ; deux pétales marqués d’une tache foncée. Sillon doublant la dépression à la base de l’arête de chaque partie du fruit bien marqué (Fig. 24, p. 477). Bec long de 25-35(-40) mm == a. subsp. cicutarium

Inflorescence à 3-5 fleurs. Corolle d’env. 12 mm de diam., violet pâle ou blanche, le plus souvent sans taches. Sillon doublant la dépression à la base de l’arête de chaque partie du fruit moins distinct (Fig. 25, p. 477). Bec long de 22-28 mm == b. subsp. dunense

a.. subsp. cicutarium [Syn. : subsp. arvale Andreas ; E. pimpinellifolium (With.) Sibth.]. (Bec-de-cigogne commun. Gewone reigersbek. Gewöhnliche Reiherschnabel). — 10-60 cm. — Champs sablonneux, pelouses et chemins secs, cultures sarclées, ballast des voies ferrées. — AC-AR, sauf Pic. et Ard. : R. — Europe, Asie tempérée, Afrique du Nord, Macaronésie. Devenu subcosmopolite. — Mellifère.

b.. subsp. dunense Andreas [Syn. : E. glutinosum Dum. subsp. dunense (Andreas) Rothm.]. (Bec-de-cigogne des dunes. Duinreigersbek. Dünen-Reiherschnabel). — 10-40 cm. — Dunes littorales, bord des chemins et terrains vagues sablonneux. — Mar. : C ; ailleurs : parfois introduit. — Côtes de l’Europe occ.

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