Chenopodium botrys L.

2. – C. botrys L. [Syn. : Dysphania botrys (L.) Mosyakin et Clemants]. (Chénopode en grappe. Druifkruid. Klebriger Gänsefuss). — 10-50(-70) cm. — Juill.-oct. — Thér. — Terrils, bord des chemins, terrains vagues, friches, graviers des rivières. — Brab., Mosan, Lorr. : RR, plus ou moins naturalisé ; ailleurs : parfois adventice. — Région méditerranéenne, Europe mér., Asie mér. et centr. — [*]

OBS. — Une espèce voisine, Chenopodium schraderianum Schult. [Syn. : Dysphania schraderiana (Schult.) Mosyakin et Clemants], a parfois été observée à l’état adventice. Elle se distingue par ses tépales pourvus d’une carène dentée et par les glandes sessiles que l’on peut observer à la face inf. des feuilles et sur les tépales (ces glandes étant stipitées chez C. botrys).

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