Genus Amaranthus L.

REM. — 1. – Une espèce, Amaranthus blitum, pourrait être indigène ou du moins très anciennement naturalisée dans le territoire de la Flore ; de nombreuses autres espèces sont naturalisées ou adventices ; seules les moins rares actuellement sont reprises dans la clé.

          2. – Les Amaranthus rencontrés dans le territoire de la Flore sont tous des espèces annuelles, à l’exception d’A. deflexus, qui est une plante vivace à rhizome.

OBS. — 1. – Adventices (en plus des espèces analysées dans la clé) : Amaranthus crispus (Lesp. et Thév.) N. Terrac., A. muricatus (Gillies ex Moq.) Hieron., A. palmeri S. Watson (espèce dioïque), A. polygonoides L., A. rudis Sauer [Syn. : A. tuberculatus (Moq.) Sauer var. rudis (Sauer) Costea et Tardif ; A. tamariscinus auct. non Nutt.] (espèce dioïque), A. scleropoides Uline et Bray, A. spinosus L., A. thunbergii Moq., A. tuberculatus (Moq.) Sauer (espèce dioïque) et A. viridis L. (Syn. : A. gracilis Desf.).

          2. – Les espèces d’Amaranthus peuvent s’hybrider entre elles, en particulier celles du groupe à inflorescence en forme d’épi terminal. Dans le territoire de la Flore, ont été signalés les hybrides A. hybridus subsp. bouchonii × retroflexus [A. ×ozanonii (Thell.) C. Schuster et M. Goldschm. nsubsp. ralletii (Contré) Lambinon ; Syn. : A. ×ralletii Contré] et A. hybridus subsp. hybridus × retroflexus [A. ×ozanonii (Thell.) C. Schuster et M. Goldschm. nsubsp. ozanonii ; Syn. : A. ×adulterinus Thell.], mais d’autres y existent peut-être.

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