Genus Scilla L.

OBS. — 1. – Les organes aériens de la plante disparaissent dès le mois de mai.

         2. – Plusieurs autres espèces du genre Scilla sont cultivées pour l’ornement dans les jardins et les parcs. Les principales, signalées à l’état subspontané ou parfois naturalisé, se reconnaîtront comme suit :

S. siberica Haw. présente, comme l’espèce indigène, des tépales libres entre eux jusqu’à la base, mais ceux-ci sont longs de 12-16 mm et les fleurs sont pendantes ; les feuilles sont gén. au nombre de 2-4 ;

 – S. luciliae (Boiss.) Speta (Syn. : Chionodoxa luciliae Boiss.) et S. sardensis (Whittall ex Barr) Speta (Syn. : Chionodoxa sardensis Whittal ex Barr) présentent des tépales soudés entre eux au moins jusqu’au 1/5 de leur hauteur ; la première possède une inflorescence à 1-2 fleurs et un périgone à lobes longs de 12-20 mm ; la seconde présente une inflorescence à 6-16 fleurs et un périgone à lobes longs de (5-)8-10 mm.

%LABEL% (%SOURCE%)